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Taxation plus-value résidence principale en 2026 : exceptions, impacts et ce qui va changer

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Taxation plus-value résidence principale en 2026 : exceptions, impacts et ce qui va changer

C’est quoi, concrètement, cette histoire de réforme ?

On en parle partout dans la presse économique : l’idée de revoir la taxation plus-value résidence principale fait son chemin dans le Projet de Loi de Finances 2026. Aujourd’hui, si vous vendez votre maison principale, aucun impôt n’est payé sur le bénéfice réalisé. Demain ? Peut-être pas la même musique. L’amendement propose qu’on ne soit exonéré que si on a habité son logement un certain temps certains parlent de 2 ans, d’autres de 5.

Pourquoi vouloir changer une règle qui fonctionnait déjà très bien ?

Soyons honnêtes : tout le monde n’est pas ravi. Mais certains députés affirment que l’actuelle exonération encourage parfois la spéculation vous achetez, vous revendez vite, vous empochez. Pas très juste, selon eux, pour ceux qui galèrent à acheter. Et puis, l’État a besoin d’argent. Beaucoup d’argent. La taxation plus-value résidence principale pourrait rapporter plusieurs centaines de millions par an. Alors évidemment, ça fait réfléchir.

Et nous, les propriétaires, ça nous concerne vraiment ?

Oui… et non. Vous seriez concerné si vous vendez votre logement principal sans avoir atteint la durée minimale d’occupation. Dans ce cas, l’impôt sur la taxation plus-value résidence principale pourrait s’appliquer.
Mais et c’est important deux cas de figure échappent à cette règle :

  1. Vous vendez pour acheter une autre résidence principale. Pas pour investir ailleurs, hein, mais pour habiter dans un nouveau logement.
  2. Vous vendez pour une raison médicale sérieuse. Le genre de situation où rester dans votre logement devient physiquement compliqué, voire impossible.

Dans ces cas-là, pas d’imposition, même si vous n’avez pas “attendu assez longtemps”.

Imaginez une situation du quotidien…

Un couple avec deux enfants, maison achetée il y a 18 mois. Et là : mutation professionnelle ou maladie. Il faut partir vite. Sans ces exceptions, ils devraient payer sur la taxation plus-value résidence principale. Vous voyez l’absurdité ? Heureusement, le texte prévoit de protéger ce type de cas.

Et si je vends juste parce que j’ai envie de changer d’air ?

Là, c’est différent. Si vous revendez au bout d’un an juste parce que la maison vous plaît moins, la taxation plus-value résidence principale pourrait s’appliquer, sauf si vous réinvestissez dans une autre résidence principale.

Ça change quoi pour le marché immobilier ?

On n’y pense pas forcément, mais un simple projet de loi peut influencer le comportement des vendeurs. Certains accélèrent leur vente « avant que ça passe », d’autres attendent. Le résultat ? Un marché parfois gelé. Un notaire racontait récemment : “Des clients me demandent s’ils doivent vendre maintenant ou attendre que tout soit clair.” Et on le comprend. La taxation plus-value résidence principale introduit une dose d’incertitude à laquelle le secteur n’est pas habitué.

Et pour l’État, c’est vraiment rentable ?

Sur le papier, oui. Entre 300 et 800 millions d’euros par an selon certaines estimations. Mais attention : moins de ventes, moins de droits de mutation perçus par les départements. Difficile de savoir si le jeu en vaut la chandelle. Certains économistes restent sceptiques.

C’est déjà voté ? Je dois paniquer maintenant ?

Respirez. Rien n’est encore acté. La taxation plus-value résidence principale est en discussion à l’Assemblée, puis passera au Sénat. Ensuite seulement, un décret pourrait la rendre applicable. Donc oui, il faut suivre l’actualité sur LION D’OR IMMOBILIER, mais non, ce n’est pas encore sur votre avis d’imposition.

Que faire pour se préparer, au cas où ?

  • Garder toutes les factures de travaux (ça réduit la plus-value imposable).
  • Consulter un notaire ou un conseiller fiscal si vous envisagez de vendre bientôt.
  • Vérifier si vous entrez dans l’un des deux cas d’exonération.
  • Et surtout… ne pas céder à la panique : la loi n’est pas encore votée.

En résumé :

  • L’idée n’est pas d’interdire, mais d’encadrer.
  • La taxation plus-value résidence principale ne s’appliquerait pas si vous vendez pour racheter une autre résidence principale ou pour un motif médical sérieux.
  • Le texte n’est pas encore final.
  • Le marché observe, les propriétaires s’interrogent, les députés débattent.

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